Z’avez reçu « Le Chiffon Rouge », le périodique du Parti Socialiste Dourois ?
Z’en pensez quoi ?
Archive for juin 2008
Le chiffon rouge, clap 2e
L’été est là… Réservez vos bancs…
Il y a quelques jours, quelle ne fut pas la surprise des habitants du quartier du Coron à Dour… 😯
En effet, un très beau banc venait de « fleurir » à l’intersection des rues Bienfaisance et du Coron… 🙂
Si vous désirez que votre quartier soit embelli de cette manière, n’hésitez pas… Passez commande mais dépêchez-vous car le stock est très limité… 😉
De plus, c’est offert… LOL En effet, regardez, c’est écrit dessus… En tout petit, d’accord… Faut presqu’une loupe, hein… 😎
Merci à mon frérot pour les photos et l’info… 😉
Pompiers, les épreuves de ouf !
Pas facile d’être pompier, moi j’vous l’dis !
Regardez les épreuves d’aptitude physique pour la future école des cadets de Dour. Vous abandonnerez à quelle épreuve d’après vous ?
- a. Monter à l’échelle aérienne (30m) (épreuve éliminatoire)
- b. Equilibre (épreuve éliminatoire)
Sur une bomme de 5 à 10 cm de large, de 4,50 m de long située à 2 m de haut. Montée et descente libres - c. Natation (épreuve éliminatoire)
L’épreuve est considérée réussie si le candidat nage 50 m (nage libre) en 1’15″ maximum. Le départ doit être plongé. Les pieds du candidat ne peuvent toucher le fonds du bassin et les mains, les parois latérales de la piscine. - d. Chute faciale
Le corps en appui sur les mains et sur les pieds forme une ligne droite des épaules aux talons, les bras étant perpendiculaires au sol. Durant l’exercice, le nez et la poitrine doivent frôler le sol. La tête doit être dans le même alignement que l’ensemble du corps. L’épreuve est considérée réussie si le candidat effectue 10 flexions et extensions des bras complètes, dans les conditions décrites ci-avant. Ne seront comptabilisées que les flexions extensions correctement et complètement effectuées. - e. Flexion des bras
Départ en suspension à la bomme ou à la barre, bras tendus, la paume des mains tournées vers l’extérieur, la hauteur de l’engin étant telle que les pieds ne touchent pas le sol. Pour qu’une exécution soit valable, le candidat doit amener le menton, 4 fois au dessus de la barre. Les flexions et extensions des bras doivent être complètes. A aucun moment, le candidat ne peut s’aider du bas du corps pour exécuter les flexions (balancements – coups de reins). - f. Grimper à la corde
L’épreuve est considérée réussie si dans un temps maximum de 20″, le candidat atteint avec les mains un repère sur la corde, à 6 mètres de haut. - g. Porter sur 50 mètres
L’épreuve consiste à ramasser, à porter sur l’épaule, un sac d’un poids de 50 Kg, à effectuer ainsi chargé, une distance de 50 m et à déposer ledit sac au delà de la ligne d’arrivée. - h. Saut en longueur, sans élan
Le départ se fait pieds joints derrière la ligne. L’épreuve est considérée réussie si le candidat franchi une distance de 2 m en longueur. - i. Saut en profondeur
Le candidat est debout en équilibre stabilisé latéral sur la bomme placée à 2 m de haut, sans appui et exécute un saut dont la réception se fait sur un tapis. Cette épreuve s’exécutera conjointement et à l’issue de l’épreuve d’équilibre. - j. Course 600m
L’épreuve est considérée réussie si le candidat effectue le parcours en 2’20″ maximum.
Et y’en a combien de pompiers actuels qui sauraient en faire autant ? LOL
Cocktail de festivités
Ce samedi 21 juin dès midi, pour accompagner le début de l’été et à l’occasion de la fête de la musique, la commune de Dour a proposé à ses habitants tout un cocktail de festivités plein de diversité et d’harmonie… 😀
Scènes, chapiteaux, étalages et mille et un produits du terroir ont investi rues, salles et places de la ville…
Le parc communal a accueilli des groupes plus « Fanfares-Variété-Années 80 ». En effet, une animation musicale de tous styles (« PARK in SOUNDS ») était au programme en dessous du kiosque… 😎
Beaucoup de monde pour écouter… 😎
Et aussi admirer… les « MISS » de la région… 😯
Y avait même le Glaude, la Denrée et le Bombé… 😉
Sur la place verte, 10 groupes régionaux de tous styles ont animé le « Tremplin Live Dour Festival »… tandis qu’au centre culturel était implantée une scène électro au profit de l’organisation « Oxfam »…
Pendant tous ces concerts se tenait dans la rue Grande, à Trichères et alentours le grand marché d’été… Au menu : produits du terroir, artisanat local, collections, bonnes affaires… Nul doute que celui-ci fut (pour la première fois) un grand succès… LOL
Il était près de 23H quand les ouvriers de la commune ont pu (sous le regard attentif du bourgmestre dourois (qué courach hein ! 😉 )) retirer les barrières « Nadar » à Trichères et alentours…
De grands moments pleins d’animation, de diversité, d’harmonie, de détente, de convivialité et de musique… à revivre au plus vite. 😮
panneaux signalisation
blabla
Carte des emplacements pour personnes à mobilité réduite
Les emplacements pour personnes à mobilité réduite sont-ils assez nombreux, bien situés et adaptés ?
Question nombre, voici une petite carte qui montre les parkings réservés aux personnes à mobilité réduite à Dour :
Note : ceux qui voudraient introduire cette carte dans leur gps, utilisez ce lien. Il vous permettra de voir apparaître sur votre écran l’endroit précis d’un emplacement.
Y en a-t-il assez ?
C’est assez difficile à dire. Ce sont les employés du Service de l’Urbanisme et de l’Aménagement du Territoire qui sont les mieux placés pour en juger. Pour l’instant, un parling est créé soit à la suite d’un aménagement de plusieurs autres parkings (grand-place par ex.) soit à la demande d’un riverain. Il devrait donc logiquement en avoir assez pour tout le monde puisque si un habitant juge qu’il doit bénéficier d’un emplacement adapté près de son domicile ou de son lieu de travail, il peut en faire la demande à la commune. Et il est rare que la demande soit refusée.
Sont-ils bien situés ?
Evidemment, il serait regrettable d’avoir un emplacement situé à 100 mètres de l’habitation du riverain. Mais comme ces emplacements répondent bien souvent à une demande d’un citoyen, il va sans dire que la police, qui rédige le rapport de faisabilité, suivi du Service de l’Urbanisme, contrôlent la réalisation de près. Je suppose… 🙂
Les demandes sont faites au Collège qui fait suivre au Conseil Communal pour approbation. Les demandes sont anonymes. Du moins, le nom du citoyen n’est pas repris dans le PV des Conseils Communaux, il m’est donc difficile de vérifier auprès de la personne demandeuse si l’emplacement correspond bien à sa demande.
Et alors quoi ? Que peut-on vérifier alors ?
Bin, ce que l’on voit concrètement, c’est-à-dire la réalisation, l’adaptation au lieu et aux besoins de la personne à mobilité réduite dont le parking est quand même sensé servir. Je dis « sensé » car tout le monde sait qu’il y en a toujours (mmh, je crois qu’on peut les appeler « les crétins » non ? 🙂 ) pour occuper ces emplacements.
Mais si la police n’hésite pas à verbaliser ces crétins (la preuve : y’en a un paquet qui ont payé très cher leur … paquet de frite en face de la friterie César 🙂 ), ce n’est pas forcément pour cela que ces emplacements servent réellement. Faute d’adaptation. Comme dans toutes les villes, Dour n’échappe pas à l’idiotie de certaines conceptions.
Voyez plutôt :
(photo)
Cet emplacement est situé dans la rangée de parkings de Trichères. Devant la Friterie César et de l’agence Dexia.
Première constatation, elle est de même grandeur que les autres emplacements.
Le FLCRD a peut-être frappé.
A maintes reprises dans les billets RDQ, le FOCUS consacré au quads et autres engins bruyants , les riverains se plaignaient de la nuisance sonore engendrée par ces engins.
La vocation de mondour.be n’est pas de relater les faits divers de la commune . Les journaux le font nettement mieux. 😉
Nous ne pouvions cependant pas passer sous silence ce fait divers survenu à 200 mètres de l’immeuble d’un des rédacteurs.
Ce fait ne date pas d’aujourd’hui et avons longuement hésité avant de le diffuser pour ne pas traumatiser la population ;-( puisqu’il date du mois d’avril 2008 mais on ne vous cache rien sur mondour.be.
Le samedi 12 avril en matinée , le « court circuit » :-/ Ravel dourois a été certainement la cible du FLCRD ( Fond de Libération du Circuit Ravel Dourois ).
Libération : pourquoi ce terme ?
Réponse : libération de cette voie par les engins motorisés qui le parcourent chaque WE à grands renforts de bruit et de pétarades. Oserions-nous penser à l’explosion d’un bâton de dynamite qui devait exploser au passage d’une moto ou d’un quad 😉 et écraser ce dernier ….et son conducteur ? Non , ce fait n’est pas une blague et la photo n’est pas un montage . Les preuves :
1.Vous remarquez les traces des engins motorisés qui remplacent la belle herbe toute verte, indice d’un intense trafic. Tout bénéfice pour la commune me direz-vous . Cela évitera de payer l’entreprise qui tondait habituellement ce coin; ça c’est le côté positif
2.Et une vue du résultat de » l’attentat » qui heureusement n’a fait aucune victime ni dégats matériels .
Autre hypothèse , ce sentier est situé à l’emplacement de l’ancienne voie de chemin de fer reliant Mons à Quiévrain.
N’y aurait-il pas eu durant la guerre 40 – 45 une prévision d’attentat contre un convoi ferroviare allemand ?
La bombe à retardement aurait peut-être été mal réglée et l’explosion différée au 12 avril 2008 ? 🙂
Extension du parc éolien Dour – Quiévrain
Réunion d’information du 19 juin 2008 en la Salle des mariages de la commune de Quiévrain
Pourquoi la salle des mariages ? La symbolique du lieu consistait peut-être à tenter de marier les avis des différents intervenants qui ont participé à ce débat. 🙂 🙁
Le but de la réunion où le public n’était pas très nombreux ( une trentaine de citoyens de Dour , Quiévrain et même Sebourg ) a été de présenter le projet d’extension du parc éolienDour – Quiévrain jusqu’à concurrence de trois machines.
Ces 3 équipements combleraient de la sorte les quelques derniers espaces autorisés restants.
Etaient présents le bourgmestre de dour Carlo Di Antonio , Salvatore Miraglia , l’échevin de l’environnement qui représentait la commune de quiévrain ,la Sté VENTIS représentée par Benoit et Pierre MAT, la Société CSD spécialisée dans les études d’impact environnementaux ( le nom du représentant n’a pas été cité ou je n’ai pas entendu ) et Bernard DELVILLE administrateur de l’ASBL le VENT D’HOUYET.( Rue du Monument 1 à 5560 Mesnil-Eglise – mail : info@vents-houyet.be )
Désolé si j’ai oublié des noms mais tous les acteurs ne se sont pas nommément présentés .
L’objectif des organisateurs : créer des parc intégrés grâce à une implantation responsable basée sur la réflexion : » Le vent appartient à tous et optons pour l’appropriation par le citoyen des gisements locaux pour une plus-value partagée ».
L’implication de petits actionnaires dans des projets de grande envergure , tel est le message lancé par ces mêmes organisateurs
Le principe de ce type de concertation est d’acter dans un procès verbal les discours des parties , d’acter les premières remarques du public et de tout intervenant , de mettre ce rapport à disposition à l’Administration de Quiévrain qui gèrera le dossier pour les entités impliquées dans le projet à savoir Dour – Quiévrain – Hensies – Honnelles.
Toutes remarques , questions , objections pourront s’ajouter à celles émises ce 19 juin et ajoutées à la liste.
Délai de réponse : 04 juillet 2008.
Coordonnées .
VENTIS – Développement éolien
M.Pierre et Benoît Mat
Chaussée de Lille, 401 – 7501 ORCQ
Tél. : 0478 80 70 00 / Fax : 069 76 96 19
Adresse e-mail: info @ventis .eu
CSD Enviro Consult SA
Avenue des Champs Elysées, 160
B-5000 Namur
Tél. +32 81 43 40 76
Fax+ 32 81 43 47 92
namur@csdec.be
En première approche , la Sté Ventis rappelle la procédure classique d’un tel projet ainsi que les informations techniques de base largement exposées dans de précédentes réunions et in situ lors des nombreuses visites.
Les étapes :
1. Information et remarques de la population
2. Centralisation de ces observations vers la Sté Ventis ( délai extrême 04 juillet )
3. Dépôt de demande de permis unique
4. Nouvelle consultation et enquête publique
Rappel que l’ autorité compétente dans ce contexte est la Région Wallonne par le biais de la Direction générale de l’Aménagement du territoire, du Logement et du Patrimoine ( DGATLP ) et la DPA ( DIVISION DE LA PREVENTION ET DES AUTORISATIONS ) qui s’assure de l’application de la législation spécifique aux permis d’environnement et de permis unique.
En pratique , l’idée va dans le sens de l’installation de 3 éoliennes qui seraient situées de l’autre côté de l’ancienne voie de chemin de fer.
En bleu ciel, pour le repère , les 4 éoliennes en service actuellement .
La zone d’extension est la surface jaune sur le plan ci-dessous.
La route d’accès en terre est en trait bleu renforcé.
La main est celle de Benoit Mat 🙂
Une éolienne serait purement communale et la seconde citoyenne.
La création d’une société coopérative telle que celle créée par l’ASBL « Vent d’Houyet » dont Bernard Delville est administrateur serait donc la voie à suivre.
Ce dernier fait part de son expérience positive dans le domaine en évoquant les coopératives dans le domaine énergétique et de l’éolien en particulier.
( exemple SOCIETE COOPERATIVE « EMISSION ZERO «)
Le message lancé va dans le sens où la citoyenneté émerge de plus en plus et des groupements locaux cherchent à s’organiser.
– Les citoyens doivent de plus en plus être acteurs de l’énergie.
– Propriétaires, les coopérateurs deviennent les consommateurs privilégiés du courant produit par leur propre éolienne.
– L’investissement étant connu au départ et le vent gratuit, leur impact sur le prix du courant est non spéculatif. Seuls les coûts de transport et de distribution via le réseau et d’équilibrage en cas d’absence de vent, sont susceptibles d’évoluer.
Une société coopérative agréée permet de lancer en toute légalité une souscription avec comme principes directeurs :
– 1 voix par coopérateur quel que soit le nombre de parts.
– dividende limité à 6% max et surplus distribués sous forme de ristournes diverses ( exemple : réduction sur facture d’électricité , .. etc .. ) basé sur le fait que le taux réel peut grimper à 15 – 20 %.
Tout ce processus doit être bien ficelé avec le souci du devoir de vigilance au plus haut niveau.
L’engagement de la commune est primordial et la convention avec le développeur sans aucune ambiguïté.
A la fin de la séance , diverses questions et remarques ont été notées.
Je cite les plus discutées.
1. Impact paysager : 4 éoliennes actuellement mais quid de 14 éoliennes
2. Impact sur les transmissions de signaux TV : le cas d’une personne d’Elouges qui pouvait mesurer par le fading de l’image le nombre de tours par minute du rotor d’une des éoliennes.
Une réponse a été donnée .
L’IBPT ( Institut Belge des Poste et Télécommunication ) doit intervenir et solutionner le problème dans le cadre du respect des règles en vigueur.
Une réponse technique a été formulée dans le sens où actuellement , les rares antennes percevant les émissions en analogique seront à relativement court terme remplacées par des systèmes de Transmission Numérique Terrestre ( TNT ) moins vulnérables à ce phénomène .
3. Pourquoi réinstaller l’extension sur le site qui avait été choisi au départ puis abandonné au profit du périmètre actuellement connu pour les 11 éoliennes.
4. Pourquoi ne pas investir en rénovation écologique ( isolation de bâtiments scolaires , système d’économie d’énergie , .. ) plutôt que dans cet investissement dans le seul éolien.
La réponse de Bernard Delville : l’un n’empêche pas l’autre car les bénéfices qui seront engrangés par ce système de coopérative permettront à la commune d’investir dans ces autres domaines visant l’économie d’énergie.
La séance s’est terminée par le verre de l’amitié offert par les frères Mat .
Bernard Delville a remis un exemple de souscription de la Société coopérative EMISSION ZERO l’éolienne des familles.
J’ai brûlé le feu rouge
Les photos ont été prises en dehors du contexte décrit. Elles ne servent qu’à situer les lieux.
On peut parfois se poser la question sur le bien fondé de systèmes qui permettent , en principe d’accroître la sécurité.
Le feu rouge placé au Point du Jour à Dour est un exemple.
Je remontais récemment la rue de l’Athénée en voiture.
Arrivé au niveau de la rue Decrucq, précaution première : regarder à droite l’arrivée d’éventuels véhicules , priorité de droite oblige.
Remarquez que le feu de signalisation à droite est invisible et éclipsé par l’habitation.
Je m’engage vers la rue Gal Leman tout en vérifiant s’il n’y a pas de véhicule qui vient de Boussu ni de piétons sur le passage qui leur est destiné ( il relie le funérarium au fleuriste et traverse la rue Général Leman ).
Le poteau de droite avec les feux n’est toujours pas visible.
OK : tout est bon, je peux passer et m’introduire dans la rue Gal Leman.
Bé non, tout n’est pas bon , le feu à droite était rouge .
Que faire ?
Logiquement , stopper net mon élan.
Un rapide coup d’oeil dans le rétro m’indique la présence d’un véhicule assez proche derrière moi qui s’apprêtait à prendre la même direction.
Deux possibilités :
– Ou bien il a vu le feu rouge et s’arrêtera derrière moi.
– Ou bien il n’a pas remarqué le feu rouge et me foncera dans le derrière avec toutes les tracasseries que cela comportera.
Je ne pouvais pas lire dans ses pensées. 😯
L’absence de piétons sur les bandes blanches m’a donc forcé à un non respect du code de la route et je suis passé au rouge de manière réfléchie et non kamikaze.
Certains diront que ce feu est là pour protéger le piéton.
Alors , pourquoi ne pas mettre un feu rouge à chaque passage pour piétons ?
Votre avis : nécessaire ou pas cette signalisation à cet endroit ?
Ne crée-t-elle pas plus de problèmes qu’elle n’en résout ?