Tel est l’objectif et le souhait des autorités communales , des promoteurs , de Dour Centreville et certainement d’une grande partie de la population.

Réunion d’information de Dour Centreville et de l’échevin du Commerce pour cette seconde séance. L’échevin des affaires sociales a complété diverses informations particulièrement au niveau des aides en général qui pourraient être apportées aux commerçants qui désireraient s’installer .

La première à laquelle Mondour n’a pu participer a permis aux bourgmestres en titre et ff de s’exprimer et de détailler l’évolution du visage de la commune.
Devant le nombre important d’inscriptions, deux séances ont dû être organisées en février 2014 à la Ferme des Templiers à Petit Dour.
Le but principal a été de mettre l’accent sur le partenariat et la convivialité qui devraient exister entre les commerces du Centreville et les commerces qui seront ceux du nouveau complexe des câbleries.
Cette rénovation des anciennes câbleries attendue depuis de trop nombreuses années va retrouver une seconde jeunesse. Elle entre dans un vaste remodelage du paysage dourois aussi bien au niveau voirie qu’aux niveaux parkings, réhabilitation d’endroits abandonnés ou semi-abandonnés, flux de circulation , commerces , attractivité .
Notre commune en avait bien besoin.
Ce vaste programme ne se fera pas en un an, l’estimation donnée pour donner une image définitive est d’environ 10 ans .
Les atouts dans cette grande rénovation peuvent se résumer de la manière suivante :
– Il y a une réelle concertation entre Dour Centreville et les promoteurs du complexe des câbleries. La définition des surfaces commerciales du complexe Câbleries à un niveau de plus de 400 m² réduira le risque de concurrence avec le Centreville et permettra à des Sociétés dont l’activité nécessite une telle surface de ne plus être refoulées.

– Mettons également en évidence le savoir-faire des équipes actuelles du Centre-Ville d’une part et des promoteurs Câbleries d’autre part. Ils n’agissent pas comme des robots et accordent à la recherche du bien-être de tous les commerçants et artisans la plus grande attention.
La balle est dans leur camp mais également dans celle des indépendants qui doivent faire preuve de professionnalisme dans leur branche d’activité, dans la gestion financière de leur entreprise et surtout dans leur disponibilité pour le client.

Le gouvernement prépare des mesures pour améliorer la lutte contre la fraude. Pour trouver de l’argent, il compte aussi s’attaquer aux mauvais payeurs.
Les amendes pour non-respect du code de la route n’échapperont pas à la règle.

Un petit exemple en image pour vous expliquer comment on en arrive à devoir se faire sanctionner.

ETAPE 1 : un représentant des forces de l’ordre vous demande gentiment de vous arrêter.

ETAPE 2 : IL VOUS FAIT PASSER UN PETIT TEST

ETAPE 3 : SI VOUS ÊTES EN FAUTE , VOUS RECEVEZ UN PV SUIVI D’UNE AMENDE A PAYER.

ETAPE 4 : VOUS AVEZ CRU RECEVOIR UN BILLET DE LOTTO 🙂 ET DÉCIDEZ DE NE PAS PAYER

OU ALORS , EN BON CITOYEN , VOUS NE LÉSINEZ PAS ET EXÉCUTEZ L’ORDRE

ETAPE 5 : CE QUI RISQUE DE CHANGER A L’AVENIR POUR LES  » AMNÉSIQUES « 

Pour l’instant, la procédure prévoit trois étapes. Le mauvais payeur reçoit d’abord un rappel, ensuite une proposition de conciliation du parquet et enfin, s’il refuse toujours de payer, il est censé passer devant un tribunal de police.

Mais dans les faits, les tribunaux étant débordés, les mauvais payeurs sont rarement poursuivis. L’idée du gouvernement est donc de ne plus passer automatiquement par les tribunaux.

Dans la nouvelle procédure, après le rappel, le mauvais payeur reçoit un ordre de paiement, avec un mois pour payer ou contester. Passé ce délai, fini les tribunaux, le fisc pourrait récupérer l’argent via l’impôt.
Si Justice et Fisc s’accordent sur la mesure, il faut encore en définir les modalités et voir, par exemple, comment organiser les services du fisc. Des groupes de travail plancheront bientôt sur la question.

Il faut craindre par ce biais de voir certaines amendes multipliées par un coefficient qui fera mal au portefeuille .

La FGTB wallonne a déterminé , commune par commune, le nombre de demandeurs d’emploi qui seront exclus du système en janvier prochain.
Une analyse ciblée sur l’arrondissement Mons-Borinage nous donne les chiffres .
Afin de pondérer par rapport à la démographie de l’entité , les chiffres ont été ramenés en nombre d’exclusions par 1000 habitants.

On y voit quatre groupes au sein desquels les différences sont négligeables.

Que penser de ces chiffres ?

A plus grande échelle , les zones les plus touchées sont bien ciblées.
Le syndicat a comptabilisé 50 000 au niveau national cas d’exclusion dont 32 000 en région wallonne.