Vous avez pu lire dans la presse la communication suivante :

L’dée de notre ministre Carlo Di Antonio :  » Profiter de la création d’une bibliothèque du futur à la place de l’ancien bar « Le Rockamadour » pour y intégrer un espace de télé-travail. « L’idée est de proposer aux employeurs que les travailleurs qui le souhaitent restent sur Dour une journée sur cinq au lieu de se rendre à Bruxelles. Un badge pointeur permettra à l’employeur de vérifier les heures prestées par son employé, tandis qu’un logiciel de télé-travail permettra à l’employé d’agir de la même manière qu’il le ferait au sein de son bureau à Bruxelles. »

Il s’agirait donc ici d’un télétravail décentralisé .

Il est bon de rappeler ce que sont les 4 variantes de télétravail :

Le télétravail à domicile en alternance : Il s’agit d’un travail exercé au domicile du travailleur, souvent à temps partiel (1 à 4 jours/semaine).
Le télétravail occasionnel à domicile : Formule réservée aux cadres qui sont amenés à gérer, à certains moments, un surcroit de travail.
Le télétravail décentralisé : Ce sont des bureaux mis à disposition par l’entreprise plus proche du domicile du travailleur.
Le télétravail mobile, aussi appelé travail « nomade » : Travail réalisé dans le cadre de la visite à des clients (délégués commerciaux, représentants médicaux ou encore les techniciens en téléphonie etc.)

La solution proposée pour notre commune serait donc la troisième .
Elle serait une variante proche du système utilisé dans les grandes entreprises .Les grosses Sociétés ayant des succursales dans tout le pays adoptent déjà ce système avec l’avantage particulier de réduire de manière importante le nombre de kilomètres sur les routes et d’éviter que des travailleurs consacrent parfois plus de 20 % du temps de travail sur les routes en leur permettant de quitter leur domicile plus tard et de rentrer plus tôt : tout avantage pour la vie de famille.

Affaire à suivre.

MONDOUR élargit pour un instant son périmètre.
La date fatidique du 25 mai se rapproche.

Des dourois vont se retrouver sur les listes des trois partis que sont ( par ordre alphabétique ) le CDH , le MR , le PS .

Sur quelle base exprimerez-vous votre décision ?
• D’abord, il y a ceux qui savent : ils iront voter. Leur choix est fait, depuis toujours. Il n’y a pas à discuter et quiconque pense autrement a tort.
• Ensuite, il y a ceux qui savent : ils n’iront pas voter. Non pas par indifférence : par conviction.
Mais puisque le seul « vote » véritablement protestataire est l’abstention… ils s’y résignent.
• Enfin, il y a ceux qui ne savent pas. Ira, ira pas ? Voter un peu au hasard, ou s’abstenir ? Ils ont pourtant, eux aussi, une « certaine idée » de la société, mais comment choisir ?

Hormis ces grandes tendances, il y a les appréciations basées sur différents critères.
• Je vote pour tel parti parce que mes parents et mes grands parents l’ont toujours fait comme cela et je ne me pose pas de questions.
• Je vote pour tel parti parce que son programme me semble plus approprié à la situation actuelle
• Je vote pour tel parti en me fiant aux résultats des sondages
• Je vote pour un parti parce que son candidat présent sur les plateaux de télévision a été plus convaincant que les autres
• Je vote au hasard parce que de toute façon, rien ne changera
• Je vote pour un des partis de l’extrême gauche ou de l’extrême droite pour secouer le cocotier et faire réfléchir les grands partis en leur montrant qu’ils ne sont pas invulnérables.

Les premières affiches commencent à garnir certains points de notre commune.

La Région , le Fédéral , l’Europe. Voilà l’enjeu des prochaines élections.
Vos souhaits , vos critiques bonnes ou moins bonnes par rapport aux représentants qui vont tenir notre sort entre leurs mains.
Exprimez-vous, qu’attendez-vous de ces scrutins ? Après le scrutin , un candidat dourois se placera-t-il en bonne position sur l’ échiquier ? Réponse le 25 mai en soirée.

L’idée d’instaurer un Partenariat Local de Prévention sur notre commune.

Des questions se posent inévitablement :
– Est-ce une réponse à un sentiment d’insécurité ?
– Est-ce une réponse à l’attente du citoyen ?
– Notre commune en-a-t-elle besoin ?
– La Police adhère-t-elle à cette idée ?
– Y-a-t-il d’autres expériences qui ont porté ses fruits ou d’autres qui ont été un échec ?

Pour en savoir plus , il suffit de lire le contenu de cette circulaire .

Il y aura fatalement des POUR et des CONTRE.
Mondour ne fait que relayer l’information et ne prend nullement position par rapport à cette suggestion.

Bonne ou mauvaise idée ? Votre avis.

Qu’en serait-il sur l’entité de DOUR ?
Participeriez-vous à cette collaboration entre la Police et le Citoyen en désignant sur votre commune les endroits qui mériteraient le placement d’un radar . Que pensez-vous de cette idée ?
Michaël Jonniaux, directeur de la police fédérale de la route a expliqué la démarche à la RTBF: «Le citoyen a la possibilité d’aller sur un site internet sur lequel il va pouvoir proposer un endroit de contrôle». Les propositions devront être motivées et le citoyen devra également préciser le moment de la journée auquel il souhaite que le contrôle soit fait.
Les sondages montrent que plus de 60 % des personnes sont favorables à cette initiative.

Notre ministre des Travaux Publics va mettre sur le tapis un projet ambitieux et original.
Le contournement de DOUR verra certainement se pointer pour 2017 une solution qui viendra compléter le plan actuel.
L’idée ? Connecter directement via un petit tunnel sous le terril de St Antoine , la rue Benoit à partir des engrais LEBRUN et Boussu Bois au niveau de la Voie des Morts et rue St Antoine.
Projet fou ? Pas tellement. Cette connexion pourrait se relier au tracé de contournement actuellement prévu. Ce dernier serait donc amputé d’une partie du réaménagement et l’argent récupéré pourrait être injecté dans cette nouvelle approche.
Il faut savoir qu’une Société italienne PIZZAROTTI , connue de notre bourgmestre en titre et spécialisée dans le creusement de tunnels recherchait un site minier pour y développer un processus particulier de forage en terrain friable.
Il s’agit en fait d’améliorer une technique classique de forage par gel du sol .La Société italienne prendrait à sa charge une grande partie des coûts liés à cette technique.
La réussite de ce projet serait une belle publicité pour la Maison Italienne.
Des contacts ont déjà été pris avec le Président Paolo Pizzarotti et son conseiller pour l’étranger Lidio Giordani.
Monsieur Giordani devrait venir à Dour fin 2014 et nous expliquer son idée.

Explosion de commentaires sur le groupe Facebook  » T’es un vrai dourois si …. « 
À Dour, Julien Neroni, a créé le groupe le week-end dernier. Plus de 1.300 membres dans les premières 48 heures et plus de 2000 ce 7 mars . « Dour c’est toute mon enfance » dit-il et voir rejaillir autant de souvenirs est un vrai plaisir. Son compte Facebook explose de notifications liées à tous les messages mais c’est la rançon de la gloire.
Beaucoup de souvenirs , des oubliés , des méconnus , des connus et chaque génération met son grain de sel.

Un petit bémol : le titre.

N’aurait-il pas été préférable de nommer le groupe  » Tu connais bien Dour si … « .
Des non-dourois connaissent peut-être tout autant si pas plus notre commune que des dourois de souche.
Des citoyens de Honnelles, de Quiévrain ou d’ailleurs appartenant à la génération des sixties se souviennent certainement de leur descente sur Dour avec le Belvédère , le cinéma Eldorado , le Windsor , la Rotonde , le restaurant Godfroid et j’en passe.

On en apprend des choses et bon courage à Julien Neroni qui va devoir maintenant remettre tout cela en musique et peut-être nous sortir un livre compilant ces courts récits 🙂

Tel est l’objectif et le souhait des autorités communales , des promoteurs , de Dour Centreville et certainement d’une grande partie de la population.

Réunion d’information de Dour Centreville et de l’échevin du Commerce pour cette seconde séance. L’échevin des affaires sociales a complété diverses informations particulièrement au niveau des aides en général qui pourraient être apportées aux commerçants qui désireraient s’installer .

La première à laquelle Mondour n’a pu participer a permis aux bourgmestres en titre et ff de s’exprimer et de détailler l’évolution du visage de la commune.
Devant le nombre important d’inscriptions, deux séances ont dû être organisées en février 2014 à la Ferme des Templiers à Petit Dour.
Le but principal a été de mettre l’accent sur le partenariat et la convivialité qui devraient exister entre les commerces du Centreville et les commerces qui seront ceux du nouveau complexe des câbleries.
Cette rénovation des anciennes câbleries attendue depuis de trop nombreuses années va retrouver une seconde jeunesse. Elle entre dans un vaste remodelage du paysage dourois aussi bien au niveau voirie qu’aux niveaux parkings, réhabilitation d’endroits abandonnés ou semi-abandonnés, flux de circulation , commerces , attractivité .
Notre commune en avait bien besoin.
Ce vaste programme ne se fera pas en un an, l’estimation donnée pour donner une image définitive est d’environ 10 ans .
Les atouts dans cette grande rénovation peuvent se résumer de la manière suivante :
– Il y a une réelle concertation entre Dour Centreville et les promoteurs du complexe des câbleries. La définition des surfaces commerciales du complexe Câbleries à un niveau de plus de 400 m² réduira le risque de concurrence avec le Centreville et permettra à des Sociétés dont l’activité nécessite une telle surface de ne plus être refoulées.

– Mettons également en évidence le savoir-faire des équipes actuelles du Centre-Ville d’une part et des promoteurs Câbleries d’autre part. Ils n’agissent pas comme des robots et accordent à la recherche du bien-être de tous les commerçants et artisans la plus grande attention.
La balle est dans leur camp mais également dans celle des indépendants qui doivent faire preuve de professionnalisme dans leur branche d’activité, dans la gestion financière de leur entreprise et surtout dans leur disponibilité pour le client.

Le gouvernement prépare des mesures pour améliorer la lutte contre la fraude. Pour trouver de l’argent, il compte aussi s’attaquer aux mauvais payeurs.
Les amendes pour non-respect du code de la route n’échapperont pas à la règle.

Un petit exemple en image pour vous expliquer comment on en arrive à devoir se faire sanctionner.

ETAPE 1 : un représentant des forces de l’ordre vous demande gentiment de vous arrêter.

ETAPE 2 : IL VOUS FAIT PASSER UN PETIT TEST

ETAPE 3 : SI VOUS ÊTES EN FAUTE , VOUS RECEVEZ UN PV SUIVI D’UNE AMENDE A PAYER.

ETAPE 4 : VOUS AVEZ CRU RECEVOIR UN BILLET DE LOTTO 🙂 ET DÉCIDEZ DE NE PAS PAYER

OU ALORS , EN BON CITOYEN , VOUS NE LÉSINEZ PAS ET EXÉCUTEZ L’ORDRE

ETAPE 5 : CE QUI RISQUE DE CHANGER A L’AVENIR POUR LES  » AMNÉSIQUES « 

Pour l’instant, la procédure prévoit trois étapes. Le mauvais payeur reçoit d’abord un rappel, ensuite une proposition de conciliation du parquet et enfin, s’il refuse toujours de payer, il est censé passer devant un tribunal de police.

Mais dans les faits, les tribunaux étant débordés, les mauvais payeurs sont rarement poursuivis. L’idée du gouvernement est donc de ne plus passer automatiquement par les tribunaux.

Dans la nouvelle procédure, après le rappel, le mauvais payeur reçoit un ordre de paiement, avec un mois pour payer ou contester. Passé ce délai, fini les tribunaux, le fisc pourrait récupérer l’argent via l’impôt.
Si Justice et Fisc s’accordent sur la mesure, il faut encore en définir les modalités et voir, par exemple, comment organiser les services du fisc. Des groupes de travail plancheront bientôt sur la question.

Il faut craindre par ce biais de voir certaines amendes multipliées par un coefficient qui fera mal au portefeuille .

La FGTB wallonne a déterminé , commune par commune, le nombre de demandeurs d’emploi qui seront exclus du système en janvier prochain.
Une analyse ciblée sur l’arrondissement Mons-Borinage nous donne les chiffres .
Afin de pondérer par rapport à la démographie de l’entité , les chiffres ont été ramenés en nombre d’exclusions par 1000 habitants.

On y voit quatre groupes au sein desquels les différences sont négligeables.

Que penser de ces chiffres ?

A plus grande échelle , les zones les plus touchées sont bien ciblées.
Le syndicat a comptabilisé 50 000 au niveau national cas d’exclusion dont 32 000 en région wallonne.