Pour continuer dans le contenu du bulletin Communal Officiel n°1 sorti en 1978, voyons la table des matières… 😀
Quel programme ! 😯 Tiens, les anciens codes postaux… (qui se souvient des 4 ?) :-/ et 18.062 habitants dans l’entité…
Terminons par quelques publicités d’époque. Plus beaucoup d’actualité ! 🙁
Dans mes (trop 😯 ) nombreuses archives « douroises », j’ai retrouvé le bulletin Communal Officiel n°1 sorti en 1978… :-/
Et, coïncidence, la photo de première page représente le kiosque tout comme la une de la dernière revue « Dour Infos » portant le n°40…
On y apprends pas mal de choses… Pour commencer, petit jeu ! Qui se souvient du bourgmestre de l’époque (ça, c’est plutôt facile), des différents échevins (cela se complique) et des conseillers communaux (vraiment pour les plus forts) ?
A vos mémoires… 🙂
La Machine à Feu, ce n’était pas que de la musique ni de l’athlétisme. Je me souviens d’un jour où je suis revenu chez moi aussi rouge que le plus rouge des indiens.
Que s’était-il passé ?
La météo était clémente, il n’avait plus plu (Pas Claude, lui c’était Piéplu) depuis plusieurs semaines et la cendrée du site était bien sèche et poussiéreuse de cette terre rougeâtre provenant de l’ignition passée du terril tout proche (dé zo, que c’est bien dit).
Ouais camarade, ce jour là, un dimanche de fin 60 ou début 70, on organisait un autocross digne de ce nom.
Je ne vous fais pas de dessin, des cowboys ces mecs et la poussière ? A revendre. De quoi attraper une anthracose subite; fallait pas se trouver sur leur chemin. Bref, trois heures dans cette folie m’ont imprégné la peau au travers de mes vêtements d’une teinte style Geronimo. Je ne vous fais pas de commentaire sur l’engueulade parentale tout à fait justifiée.
Au péril de ma vie, j’ai pu de nouveau accrocher quelques images sur la pellicule.
Je vous en fait part comme il se doit. On ne vous cache rien sur MonDour.be (bande de vicieux(ses), n’interprétez pas mal).
J’avais oublié de vous dire; nous, les copains d’alors avions créé un petit lieu de rencontre entre amis et connaissances.
Dans le cadre de nos manifestations (bals , … ),on avait aménagé le bas de la salle des machines de l’ancien charbonnage et les sièges étaient de vieux bancs de cinéma et des anciens wagonnets de chemin de fer.
On avait nommé ce lieu Le Brole. Il a fonctionné pendant un an et puis, il a été classé dans la longue liste des travaux inutiles. Enfin, on s’est bien marré… quelle époque ! Mais comment pouvait-on bien vivre sans le net ?
Et voilà deux photos inédites du Brole prises à l’époque, elles sont en noir et blanc. Vous y voyez le bar et le « salon ». Nostalgie, nostalgie, quand tu nous tiens.
Le site de la Machine à feu a toujours attiré les manifestations musicales.
Certes, elles n’arrivaient pas à la cheville du Dour Festival 🙂 mais une bande de copains dont je faisais partie et appartenant au club d’athlétisme de Dour Sports ont prêté main forte aux organisateurs de ces bals 1960 – 1970.
Cela se passait où ?
A l’endroit où se trouve actuellement le marchand de matériaux Delhaye.
Ben oui, nous avons eu quelques vedettes :
Les Wallace collection (Daydream, ça vous dit quelque chose?).
J’ai vu qu’après 32 ans de silence, ils s’étaient regroupés pour un concert unique le 10 août 2006, afin de faire plaisir à Christian, le directeur commercial de la Brasserie d’Achouffe.
Je n’ai malheureusement pas pris de photos à l’époque mais je vous en livre deux repiquées à gauche et à droite, l’une avec les Wallace années 70 et une autre prise en 2006.
André Brasseur.
Vous connaissez, les moins jeunes du moins, le fameux « Early Bird », qui devient rapidement un super tube (six millions d’exemplaires vendus en quelques mois de par le monde).
Ce succès foudroyant le propulse dans les sommets des hit-parades, on le demande dans toute l’Europe, mais aussi aux Etats-Unis et au Japon. Les enregistrements se suivent et de nombreuses compositions servent d’indicatif sur toutes les ondes radio.
Et bien j’y étais comme certainement plusieurs d’entre vous.
Je n’ai malheureusement pas beaucoup de souvenirs photographiques de cette époque hormis ces trois photos du bal de la Machine à Feu dans les années 70 et animé par André Brasseur et son orchestre.
Vous reconnaîtrez peut-être quelqu’un ?
Les Wallace années 70 tels qu’on a pu les voir à la Machine à feu.
Les Wallace année 2006.
C’est fou ce qu’on peut changer en 40 ans.
André Brasseur et son orchestre photographiés à la Machine à Feu
Note de Joël : quelques petites infos complémentaires trouvées sur le web.
Wallace Collection :
- le site web des Wallace Collection
- des photos de leur concert spécial à la Brasserie Achouffe
- la vidéo de leur tube « Daydream » (terrib’ !!! 🙂 )
André Brasseur :
